Bloc identitaire = Titanic !

Depuis l’incarcération de Mathieu CLIQUE la mandataire de l’Oustal se retrouve chargée de la dette causée par l’impéritie de cet irresponsable.

Il est présomptueux de ne pas tenir compte, de se moquer, des avertissements d’un ancien qui a parcouru plusieurs fois le damier des désillusions humaines et de la connaissance des forts en gueule, intelligents et subtils, qui laissent marcher devant les inconscients – l’entôlé – et les loyaux – la mandataire –.

Ce que Maurras nomma l’empirisme organisateur. L’instinct de profit, d’économie lamentable, le profil du maquignon dans la patrie de Thénardier et de L’Avare, la visibilité restreinte aux signes apparents, le désir chronique d’avancer à reculons si l’odeur du soufre domine, l’incapacité de désigner les vrais ennemis, l’amateurisme pitoyable des petits intellocrates qui, depuis Azincourt en pire, ne rêvent que de foncer tête baissée dans les filets pour palombes, forment grosso modo l’inventaire des désastres français.

Tant qu’un chef galonné ne lui ordonne pas d’aller donner ses tripes sur le premier champ de bataille venu, le gaulois perpétue ses guerres contre les villages voisins. Donner sa vie, il est presque toujours d’accord. Ouvrir son portefeuille pour honorer le devoir de l’amitié, de la solidarité, de l’accueil, là il a besoin de deux ou trois siècles pour réfléchir. Quant à ouvrir son coeur et sa porte, passons !

Les appels au secours de la Mandataire de l’Oustal sont entendus par quelques personnes, responsables, elles. Responsables du moins des relations de camaraderie et d’amitié contractées.

Les parasites et les pique – assiette restent prudemment silencieux, concentrant leurs habiles efforts sur la perpétuation de la cause militante. Alors ils ne manqueront pas au rendez-vous de Caluire, ou presque, pour témoigner de leur désir de savoir, de comprendre et de s’investir. Caluire – L’Oustal. Dans le fond, finalement, la même fumisterie où seuls les vrais héros, paient. Paient cash. Et ils s’étonneront si, en échange de rien, il ne leur es pas servi quelque apéritif dinatoire avec quoi ils prennent leurs camarades de la Résistance pour des cons.

Quand le Titanic coule, que son commandant de pacotille est habilement séquestré par un ennemi qui entend s’en servir pour dissoudre – peut-être – le Mouvement identitaire en sa raison sociale elle-même, que la candide et loyale mandataire (qui arrive à la cheville de sa loyale confiance ?) se retrouve immergée contre les parois d’un navire où quelques mains seulement se tendent pour remplir le contrat de l’élémentaire pacte des humains dignes, il n’y a plus qu’à sortir la Mandataire en question des eaux et à couler pour de bon ce qui reste encore en surface d’un Titanic de carton pate.