Rouergat d'Abord "les identitaires" !
Nous refusons de devenir des
étrangers sur la terre de nos ancêtres et affirmons avec fierté notre identité languedocienne,Française et Européenne


dimanche 20 juillet 2014

Millau : agression de l'ASM Clermont-Auvergne de passage dans la ville

Qui ne connait pas Millau? Sous-préfecture de l'Aveyron, capitale du Rouergue, avec ses causses à perte de vue, son marathon annuel, ses spots d'envol de parapente, ses caves de roquefort et son désormais mondialement célèbre viaduc franchissant majestueusement la vallée...
Malheureusement et bien que située loin des grands centres urbains, Millau semble frappée de folie meurtrière et prise en otage par de véritables gangs armés qui font régner la terreur dès la nuit tombée. En 2010 c'était une rixe avec une bande de 18 maghrébins qui avait couté la vie à un jeune antillais, l'an dernier un drogué en crise poignardait à mort la jeune Aude de 14 ans. C'est hier qu'un nouveau « fait divers » est venu entacher l'image de Millau et de tous ses habitants. Trois rugbymen internationaux de l'ASM Clermont-Auvergne de passage dans la ville ont subi une agression d'une extrême violence à coups de machettes et de sabres de la part d'une dizaine de racailles locales.
Cette situation ne peut plus durer et ce ne sont pas les gesticulations de Mr Valls qui changeront quoi que ce soit. La sécurité des citoyens doit être la priorité car à quoi bon avoir un emploi ou acheter une maison si la racaille fait régner sa loi?  Espérons que le fait que les victimes soient des sportifs connus, fasse ouvrir les yeux sur le quotidien de la majorité des français...
La Ligue du Midi apporte tous ses vœux de rétablissement aux 3 internationaux et exige de la préfecture des mesures fortes pour éradiquer la délinquance millavoise.
le 20/07/2014
Ligue du Midi

BP 1-7114
30912 – Nîmes cedex 2


Tel : 04 34 40 41 29
P1020758
La Ligue du Midi au viaduc de Millau lors d’une manifestation

Photo libre de droits

samedi 5 juillet 2014

Croix de la Rode ou croix à la Roue ?

La Croix de la Rode






La croix de la Rode, c'est à dire la croix avec une roue. Elle est toute en granit et marque un peu la limite de l'Aveyron et de la Lozère.
Elle aurait été mise en ces lieux par les seigneurs de la terre de Peyre.

Elle se situe sur le GR de Pays "Tour des Monts d'aubrac" ou si vous préférez sur la route qui traverse les montagnes depuis le croisement de Montorzier, en Lozère et qui se poursuit versVieurals, en Aveyron.
De là, vous pouvez partir vers Mailhebiau et le gîte d'étape des Rajas, ou vers Alte Teste et lesVergnes....

On peut voir qu'elle a subi les méfaits du temps, peut-être des hommes ou pourquoi pas des vaches qui paissent ici durant la belle saison.
On y trouve les lichens caractéristiques au granit : trés sensibles à la pollution, ils témoignent de la pureté de l'air sur le plateau de l'aubrac.

La Croix de la Rode, avec quelques traces de neige sur un beau tapis vert ...
Photo transmise par un visiteur gardois venu à la fête de la transhumance à Bonnecombe...

Par contre, l’adoption quasi générale du terme «croix de la Rode» qui pourrait choquer les amoureux de notre patrimoine occitan : car il ne s’agit pas là d’une traduction correcte du nom occitan de cette croix mais d’une transposition purement phonétique. En revanche, si l’on veut bien se rappeler que la traduction française du mot occitan «roda» est le mot «roue», une traduction correcte du nom occitan de ladite croix serait «croix à la roue». Et cette traduction offre, en outre, l’avantage de conserver le caractère descriptif du nom original.
Autre exemple de transcription phonétique en guise de traduction. Il existe, non loin de Nasbinals, un pont dont le nom occitan est «Pont de las negras», c’est-à-dire «Pont des noires». Or, la traduction effectuée est souvent et malheureusement «Pont des nègres».
L’attachement à notre patrimoine occitan voudrait que les autorités locales (municipalités, Dde) veillent à faire connaître et à promouvoir des dénominations correctes des monuments de ce patrimoine. Un moyen pourrait être de placer non loin de ces monuments des panneaux de signalisation bilingues donnant leur double appellation occitane et française. Ne serait-il pas plus satisfaisant pour le citoyen ordinaire de pouvoir utiliser des noms corrects issus du passé, plutôt que des termes de mascarade ..