Comme Voltaire, comme Victor Hugo et comme Sacha
Guitry – en toute modestie et sous bénéfice d’inventaire – je vomis cette
ville de Toulouse.
Ce n’est pas une ville , c’est un égout ! C’est le
seul courant d’eau qui passe dans les coeurs et les esprits ici. Cette ville
est mare ou bassin, elle est lac, étang ou réservoir mais il n’y a nulle part
de source. Les gens sont tristes, vils, bruyants. Ils ignorent l’accueil, la
bienveillance, l’hospitalité, la simplicité. Ils font semblant de tomber des
nues quand cela leur est reproché par presque tous les “étrangers” qui y
séjournent. Le manque d’une moindre éducation est ce qui s’y trouve de plus
patent. Ils ne passent pas à table, ils s’y bâfrent, les deux coudes sur la
table et la bouche tendue à la fourchette, avec la face des boeufs dans
l’étable. C’est un creuset biologique de wisigoths et de sarrasins qui a
produit un fond de méchanceté et de rancune, de peur animale et d’égoïsme. On
voudrait leur être au moins redevables du cubisme, du surréalisme ou même du
libre essor de la pédérastie républicaine, mais comme ils n’ont jamais rien
inventé, ces trouvailles-là cèdent la place à ce qui est décrit dans le
commentaire qui suit. La Révolution et la Terreur, c’est ce qui répond le
mieux à leur image intrinsèque. Ils ne savent que chier sur le sacré. Et ils
font ça comme l’autre faisait de la prose sans le savoir. Il faut aller à Lyon
pour trouver un aéroport Antoine de Saint-Exupéry. A Toulouse, ils ont
remercié l’auteur du Petit Prince avec une avenue aussi banale qu’une autre,
on cherche les hommages à Mermoz et à Guillaumet. Ces aviateurs n’ayant été
que des fascistes des Croix de Feu, les plantigrades de la Ville morne
n’allaient tout de même pas les honorer ! Il reste le Rugby, seul rayon de
soleil à briller sur cette ville. Un rayon de soleil inventé par les
Anglais. Ah oui ! J’oubliais le chanteur toulousain. Pour la paix de
leur conscience, il leur laisse une mélodie exceptionnelle et qui risque de
durer. Pour le reste, ce chanteur a surtout plu aux nègres de Harlem pour ses
rythmes de jazz. Quant aux écrivains toulousains, aux poètes, cherchez-les !
Et comparez avec la Provence, avec le Nord !
Ce ne sont pas des citadins, ce sont des sauvages
esseulés ! des gens qui défilent mais enfermés dans leur mornitude, dans leur
maison bouclée, dans leur cerveau qui ressemble à une machoire, des
hirsutes oligophrènes qui font tomber un pot de fleurs de leur fenêtre et se
justifient en prétextant qu’ils offrent des fleurs, des sourcilleux fuyants,
toujours en colère, qui protestent en pleurant sans savoir exactement contre
quoi, cousus de fric en catimini, race de blasphémateurs, des pions qui
haïssent les pionniers, une canaille qu’il faut fuir parce qu’elle ne sait que
fuir, excepté le profit et l’intérêt. Et le vernis ! Un journal, un seul
et naturellement “de la démocratie”. Une ambiance de socialisme pur, même pour
une prétendue droite locale qui mange au râtelier commun, trop contente du
strapontin qu’elle soutire contre son silence. Aucune, aucune ivresse
dans cette ville plate et des ramas de femmes banales, mondaines à coups de
fard grossier, des nabots à sabots de chez Weston, des clichés et du chiqué,
univers de fausseté et de défiance, rond et doucereux et toujours oblique
quand on attendrait, enfin, quelque chose de droit, de spontané, de généreux.
Aucun orgueil nulle part mais de la vanité partout ! Et de l’envie ! Et de la
cupidité ! Et de l’enfermement ! Et des tâcherons mesquins ! Et de la rancune
! Et de l’étroitesse ! Comme le galop d’essai du Purgatoire ! Leur seule
fausse douceur, c’est celle du pot de miel, quand ils sont bien obligés de
faire croire qu’un sourire pourrait les habiter. Ces obscurantistes d’ADN, ces
ploucs échappés des porcheries de la campagne qui débouche dans leurs salons
qu’ils sont les seuls à fréquenter, se sont rués sur le prétexte des Lumières
pour mettre de la visibilité dans leur âme ou ce qui en faisait office. Mais
avec les volets restés fermés, le résultat a donné un radical socialisme où
ils pataugent depuis dès avant, même, l’incarnation du Christ vernaculaire, ce
furieux Jean Jaurès, à proximité de la statue duquel les Mahométans se
plaisent à venir brûler le drapeau français. Distraction festive qui plait
bien dans cette ville de reniement et d’ingratitude. En attendant que ces
jeunes prophètes du Prophète n’en fassent autant avec l’ombre noire qui est
naturellement devenue l’édile de cette ville. Et ce sera alors “avecque
plaisir” comme ils disent en ramassant la monnaie chez la boulangère qui vient
de leur dire avec un sourire bête tout aussi faux: “bonne journée” en appuyant
sur la deuxième syllabe de “bonne” pour s’en faire accroire. De l’air !
voici ce que m'écrit une amie de Toulouse...très
parlant...
J'ai assisté à la manifestation de Toulouse, très révélatrice de la haine anti-chrétienne de groupuscules manipulés par les nostalgiques de la Révolution et de la Terreur.
Des "filles" se dénudaient devant les prêtres et les enfants en mimant l'acte sexuel en conspuant Marie et Jésus (regrettant qu'elle n'ait pas avorté !) c'était ignoble, j'ai failli me battre avec une horde de malades mentaux qui cherchaient l'affrontement.
Les cathos sont restés très dignes, admirables, difficile de garder son calme face à autant de haine gratuite.
Pauvre France ! Ils sont beaux les Droits de l'Homme ! c'était plutôt les droits de la Bête de l'Apocalypse !
Près de 7.000
catholiques à genoux dans la rue de Paris
La presse s'est déplacée en grand nombre pour s'intéresser de plus en plus objectivement à ce grand mouvement de fond auquel peu de gens s'attendaient...
Ce qui a le plus surpris les observateurs - médiatiques, politiques, mais aussi religieux "frileux" - ce sont les milliers de jeunes qui, depuis plusieurs mois, se mobilisent dans le calme, la détermination et la prière.
Les
journalistes, les badauds, les observateurs ont
été surpris - et édifiés - par la ferveur et le
recueillement de c
Près de 7.000
catholiques à genoux dans la rue de Paris
Les catholiques ne veulent plus se laisser impunément insulter en France ! Accès aux vidéos ayant trait aux manifestations et processions contre les blasphèmes Grand succès devant le théâtre du Rond-Point à Paris. La marche organisée ce 11 décembre par lInstitut Civitas entre la place de lAlma et le Rond-point des Champs-Élysées a rencontré un vif succès. Près de sept mille catholiques, venus des chapelles traditionalistes comme des églises avoisinantes, soutenus par la présence de prêtres dhorizons divers, ont dabord prié en réparation des violentes offenses faites au Christ et aux Chrétiens dans la pièce qui se jouait cet après-midi à Paris. Rejoints même par des non catholiques, ils ont eu à cur de faire passer un message à leurs élus et compatriotes en affirmant leur volonté de ne plus voir limage de Dieu traitée de la manière la plus ordurière qui soit. Le bon sens fera comprendre quil ne sagit pas là de porter atteinte à quelque art ou liberté, termes abusivement sollicités pour loccasion, mais tout simplement de garantir la forme la plus élémentaire du respect. Lors de ce rassemblement, cest la ferveur et la sérénité qui régnaient. La seule « violence » que les journalistes auront pu constater, cest cette visibilité le long des quais de Paris dune foule jeune, porteuse despérance, décidée à ne pas déserter le débat dans les mois qui viennent et que certains médias ont discréditée en linjuriant du nom de « fondamentalistes ». Mais ceux qui défendent le Christ se rappellent de ses propos qui les ont assurés de la béatitude lorsquils seront persécutés en son nom. Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas. Le défilé dans le calme et la joie de l'espérance catholique
La presse s'est déplacée en grand nombre pour s'intéresser de plus en plus objectivement à ce grand mouvement de fond auquel peu de gens s'attendaient...
Ce qui a le plus surpris les observateurs - médiatiques, politiques, mais aussi religieux "frileux" - ce sont les milliers de jeunes qui, depuis plusieurs mois, se mobilisent dans le calme, la détermination et la prière.
Les
journalistes, les badauds, les observateurs ont
été surpris - et édifiés - par la ferveur et le
recueillement de ces milliers de catholiques à
genoux dans les rues de Paris.
J'ai assisté à la manifestation de Toulouse, très révélatrice de la haine anti-chrétienne de groupuscules manipulés par les nostalgiques de la Révolution et de la Terreur.
Des "filles" se dénudaient devant les prêtres et les enfants en mimant l'acte sexuel en conspuant Marie et Jésus (regrettant qu'elle n'ait pas avorté !) c'était ignoble, j'ai failli me battre avec une horde de malades mentaux qui cherchaient l'affrontement.
Les cathos sont restés très dignes, admirables, difficile de garder son calme face à autant de haine gratuite.
Pauvre France ! Ils sont beaux les Droits de l'Homme ! c'était plutôt les droits de la Bête de l'Apocalypse !
ENFIN
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
QUE CES
IMAGES FONT DU BIEN A VOIR !!!!!!
Près
de 7.000 catholiques à genoux dans la rue, à
Paris -Comme il lest écrit plus
loin: ça fait du
bien. Espérons
que cette manifestation nest quun début et que
très vite, nous verrons dans toutes les villes,
des chrétiens montrer que la France
est avant tout une terre
chrétienne. Verrons-nous, dans ce cas, le
pouvoir politique lancer ses compagnies de CRS
contre ces manifestants pour sauver la laïcité
alors en danger ? (Parce que, pour linstant elle
ne lest pas !)
Moi
je serai plus radical, pourquoi ne pas faire
sonner les cloches, très
fort, à plusieurs reprises, tous les
jours, matin,
midi et soir. On ne les entend presque plus
surtout le vendredi !!! Pour
une fois cela nous change et
il faudrait que dans chaque ville on puisse en
faire de même.
Près de 7.000 catholiques à genoux dans la rue, à Paris - Est-ce le réveil ?
Près de 7.000 catholiques à genoux dans la rue, à Paris - Est-ce le réveil ?
> >
Les catholiques ne veulent plus se laisser impunément insulter en France ! Accès aux vidéos ayant trait aux manifestations et processions contre les blasphèmes Grand succès devant le théâtre du Rond-Point à Paris. La marche organisée ce 11 décembre par lInstitut Civitas entre la place de lAlma et le Rond-point des Champs-Élysées a rencontré un vif succès. Près de sept mille catholiques, venus des chapelles traditionalistes comme des églises avoisinantes, soutenus par la présence de prêtres dhorizons divers, ont dabord prié en réparation des violentes offenses faites au Christ et aux Chrétiens dans la pièce qui se jouait cet après-midi à Paris. Rejoints même par des non catholiques, ils ont eu à cur de faire passer un message à leurs élus et compatriotes en affirmant leur volonté de ne plus voir limage de Dieu traitée de la manière la plus ordurière qui soit. Le bon sens fera comprendre quil ne sagit pas là de porter atteinte à quelque art ou liberté, termes abusivement sollicités pour loccasion, mais tout simplement de garantir la forme la plus élémentaire du respect. Lors de ce rassemblement, cest la ferveur et la sérénité qui régnaient. La seule « violence » que les journalistes auront pu constater, cest cette visibilité le long des quais de Paris dune foule jeune, porteuse despérance, décidée à ne pas déserter le débat dans les mois qui viennent et que certains médias ont discréditée en linjuriant du nom de « fondamentalistes ». Mais ceux qui défendent le Christ se rappellent de ses propos qui les ont assurés de la béatitude lorsquils seront persécutés en son nom. Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas. Le défilé dans le calme et la joie de l'espérance catholique
Les catholiques ne veulent plus se laisser impunément insulter en France ! Accès aux vidéos ayant trait aux manifestations et processions contre les blasphèmes Grand succès devant le théâtre du Rond-Point à Paris. La marche organisée ce 11 décembre par lInstitut Civitas entre la place de lAlma et le Rond-point des Champs-Élysées a rencontré un vif succès. Près de sept mille catholiques, venus des chapelles traditionalistes comme des églises avoisinantes, soutenus par la présence de prêtres dhorizons divers, ont dabord prié en réparation des violentes offenses faites au Christ et aux Chrétiens dans la pièce qui se jouait cet après-midi à Paris. Rejoints même par des non catholiques, ils ont eu à cur de faire passer un message à leurs élus et compatriotes en affirmant leur volonté de ne plus voir limage de Dieu traitée de la manière la plus ordurière qui soit. Le bon sens fera comprendre quil ne sagit pas là de porter atteinte à quelque art ou liberté, termes abusivement sollicités pour loccasion, mais tout simplement de garantir la forme la plus élémentaire du respect. Lors de ce rassemblement, cest la ferveur et la sérénité qui régnaient. La seule « violence » que les journalistes auront pu constater, cest cette visibilité le long des quais de Paris dune foule jeune, porteuse despérance, décidée à ne pas déserter le débat dans les mois qui viennent et que certains médias ont discréditée en linjuriant du nom de « fondamentalistes ». Mais ceux qui défendent le Christ se rappellent de ses propos qui les ont assurés de la béatitude lorsquils seront persécutés en son nom. Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas. Le défilé dans le calme et la joie de l'espérance catholique
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La presse s'est déplacée en grand nombre pour s'intéresser de plus en plus objectivement à ce grand mouvement de fond auquel peu de gens s'attendaient...
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Ce qui a le plus surpris les observateurs - médiatiques, politiques, mais aussi religieux "frileux" - ce sont les milliers de jeunes qui, depuis plusieurs mois, se mobilisent dans le calme, la détermination et la prière.
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Comme le
souligne le communiqué de Civitas (Voir plus
haut), ce sont des prêtres et des paroissiens de
tous horizons qui ont voulu marquer leur
ras-le-bol des attaques contre la religion
catholique.
Le
chapelet récité en réparation des blasphèmes et
en union avec tous les absents
ENFIN
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
QUE CES
IMAGES FONT DU BIEN A VOIR !!!!!!
Près
de 7.000 catholiques à genoux dans la rue, à
Paris -Comme il lest écrit plus
loin: ça fait du
bien. Espérons
que cette manifestation nest quun début et que
très vite, nous verrons dans toutes les villes,
des chrétiens montrer que la France
est avant tout une terre
chrétienne. Verrons-nous, dans ce cas, le
pouvoir politique lancer ses compagnies de CRS
contre ces manifestants pour sauver la laïcité
alors en danger ? (Parce que, pour linstant elle
ne lest pas !)
Moi
je serai plus radical, pourquoi ne pas faire
sonner les cloches, très
fort, à plusieurs reprises, tous les
jours, matin,
midi et soir. On ne les entend presque plus
surtout le vendredi !!! Pour
une fois cela nous change et
il faudrait que dans chaque ville on puisse en
faire de même.
Près de 7.000 catholiques à genoux dans la rue, à Paris - Est-ce le réveil ?
Près de 7.000 catholiques à genoux dans la rue, à Paris - Est-ce le réveil ?
Les catholiques ne veulent plus se laisser impunément insulter en France ! Accès aux vidéos ayant trait aux manifestations et processions contre les blasphèmes Grand succès devant le théâtre du Rond-Point à Paris. La marche organisée ce 11 décembre par lInstitut Civitas entre la place de lAlma et le Rond-point des Champs-Élysées a rencontré un vif succès. Près de sept mille catholiques, venus des chapelles traditionalistes comme des églises avoisinantes, soutenus par la présence de prêtres dhorizons divers, ont dabord prié en réparation des violentes offenses faites au Christ et aux Chrétiens dans la pièce qui se jouait cet après-midi à Paris. Rejoints même par des non catholiques, ils ont eu à cur de faire passer un message à leurs élus et compatriotes en affirmant leur volonté de ne plus voir limage de Dieu traitée de la manière la plus ordurière qui soit. Le bon sens fera comprendre quil ne sagit pas là de porter atteinte à quelque art ou liberté, termes abusivement sollicités pour loccasion, mais tout simplement de garantir la forme la plus élémentaire du respect. Lors de ce rassemblement, cest la ferveur et la sérénité qui régnaient. La seule « violence » que les journalistes auront pu constater, cest cette visibilité le long des quais de Paris dune foule jeune, porteuse despérance, décidée à ne pas déserter le débat dans les mois qui viennent et que certains médias ont discréditée en linjuriant du nom de « fondamentalistes ». Mais ceux qui défendent le Christ se rappellent de ses propos qui les ont assurés de la béatitude lorsquils seront persécutés en son nom. Alain Escada, secrétaire général de l'Institut Civitas. Le défilé dans le calme et la joie de l'espérance catholique
La presse s'est déplacée en grand nombre pour s'intéresser de plus en plus objectivement à ce grand mouvement de fond auquel peu de gens s'attendaient...
Ce qui a le plus surpris les observateurs - médiatiques, politiques, mais aussi religieux "frileux" - ce sont les milliers de jeunes qui, depuis plusieurs mois, se mobilisent dans le calme, la détermination et la prière.
Comme le
souligne le communiqué de Civitas (Voir plus
haut), ce sont des prêtres et des paroissiens de
tous horizons qui ont voulu marquer leur
ras-le-bol des attaques contre la religion
catholique.
Le
chapelet récité en réparation des blasphèmes et
en union avec tous les absents