La Ligue du Midi
Les Identitaires du Languedoc-Roussillon-Aveyron
Injures à caractère ethnique à la fête votive : pour Olivier Roudier, c’est la prison !
C'est la fête au village... Ce soir là, les conversations s’élèvent de quelques décibels du côté de la buvette. Des vigiles, aussi vigilants qu'exotiques, n'arrivant pas à expulser quelques jeunes villageois bruyants, dégainent leurs "gazeuses" (armes de 6ème catégorie) et aspergent copieusement, dans les yeux, la joyeuse troupe dont l'un écopera de 5 jours d'hospitalisation. Des noms d'oiseaux fusent des 2 côtés... sans plus... Surviennent alors les pandores qui se livrent à une interpellation musclée... Fin du film ??? Hé bien non : de la garde à vue gendarmesque, on passe à la présentation au parquet, puis devant un juge d'instruction, enfin devant le Juge de la Détention et c'est ainsi qu'Olivier Roudier, se retrouve embastillé en détention préventive.
C’est une première en matière de détention provisoire, qui s'explique d'autant moins qu'Olivier Roudier a un domicile, qu'il est propriétaire-éleveur, qu'il est marié, père de deux enfants et que son épouse attend un bébé pour octobre. On se souvient de nombreuses affaires où des braqueurs, violeurs ou dealers sont ressortis libres du bureau d’un juge, sans parler de la récente affaire du parking Vinci de Marseille où l'on attend toujours une suite judiciaire.… En outre il y avait peu de chance qu’Olivier ait songé à s’enfuir dans un pays d’outre-Méditerranée…
Précision importante : ce soir là, il n'y eut aucune violence physique, si ce n'est de la part du service d'ordre, ni un coup de poing, ni même une gifle de la part des jeunes villageois ; la preuve, c’est qu’Olivier n'est pas poursuivi pour violences. En Languedoc, des incidents de ce type, il s'en produit dix chaque soir à l'époque des fêtes... Alors s’agit-il d’une mesure discriminatoire ? Car Olivier n'est pas n'importe qui puisque, comme le fait remarquer à plusieurs reprises le quotidien Midi-Libre (son nom est cité 5 fois dans un article), il a été candidat de la Ligue du Midi aux élections cantonales dans le canton emblématique de la Paillade à Montpellier où il a réalisé un score non négligeable.
Midi Libre accomplit l'exploit, sous la plume de son stagiaire estival, de tartiner l'incident sur trois colonnes alors qu'il ne s'agit même pas d'un fait divers et encore moins d'une affaire politique. Le plumitif a en outre l'outrecuidance de mentionner le nom de son père Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, en train de récolter des tomates ce jour là, à plus de 60 kms de l'incident. Le stagiaire, certainement peu au fait des habitudes du quotidien régional, semble ignorer que son journal ne mentionne jamais le nom des prévenus, ni leur origine ethnique, ou même modifie les prénoms et ne publie jamais leurs photos. Pourquoi ce traitement discriminatoire ? En général, le Midi Libre se fait le champion de la présomption d'innocence, dénonce les violences des policiers ou des vigiles et s’indigne de la surpopulation carcérale... Alors, deux poids, deux mesures ?
En tout cas, la Ligue du Midi se félicite du grand pas en avant dans la présentation "démocratique" de l'information puisque à ce jour, la rédaction du Midi-Libre n'avait quasiment jamais publié ses communiqués. La hargne dont fait preuve dans cette affaire le "grand quotidien régional d'information" s'explique certainement par les mauvaises nouvelles en provenance de New York, phare de la finance mondiale, qui est en train de se déliter sous nos yeux, avec en corolaire l’irrésistible montée en puissance des mouvements populistes et identitaires en Europe.
De nombreux témoins de l’incident, ulcérés par l’attitude des vigiles, se sont proposés pour rétablir la vérité et diverses plaintes ont été déposées ou sont en passe de l'être.
Une collecte visant à assurer la défense d’Olivier et la survie de son exploitation est en cours.
Envoyez vos dons à et courriers pour Olivier à qui nous transmettrons à:
Entraide-Solidarité-PrisonBP 4-7187, 30914 - Nîmes cedex
Libellé au nom de Roudierou d’Entraide-Solidarité pour obtenir une attestation de déduction fiscale.