Rouergat d'Abord "les identitaires" !
Nous refusons de devenir des
étrangers sur la terre de nos ancêtres et affirmons avec fierté notre identité languedocienne,Française et Européenne


mardi 23 août 2011

La Ligue du Midi Les Identitaires du Languedoc-Roussillon-Aveyron

La Ligue du Midi
Les Identitaires du Languedoc-Roussillon-Aveyron
 
 
Injures à caractère ethnique à la fête votive : pour Olivier Roudier, c’est la prison !
 
C'est la fête au village... Ce soir là, les conversations s’élèvent de quelques décibels du côté de la buvette. Des vigiles, aussi vigilants qu'exotiques,  n'arrivant pas à expulser quelques jeunes villageois bruyants, dégainent leurs "gazeuses" (armes de 6ème catégorie) et aspergent copieusement, dans les yeux, la joyeuse troupe dont l'un écopera de 5 jours d'hospitalisation. Des noms d'oiseaux fusent des 2 côtés... sans plus... Surviennent alors les pandores qui se livrent à une interpellation musclée... Fin du film ???  Hé bien non : de la garde à vue gendarmesque, on passe à la présentation au parquet, puis devant un juge d'instruction, enfin devant le Juge de la Détention et c'est ainsi qu'Olivier Roudier, se retrouve embastillé en détention préventive.

C’est une première en matière de détention provisoire, qui s'explique d'autant moins qu'Olivier Roudier a un domicile, qu'il est propriétaire-éleveur, qu'il est marié, père de deux enfants et que son épouse attend un bébé pour octobre. On se souvient de nombreuses affaires où des braqueurs, violeurs ou dealers sont ressortis libres du bureau d’un juge, sans parler de la récente affaire du parking Vinci de Marseille où l'on attend toujours une suite judiciaire.… En outre il y avait peu de chance qu’Olivier ait songé à s’enfuir dans un pays d’outre-Méditerranée…

Précision importante : ce soir là, il n'y eut aucune violence physique, si ce n'est de la part du service d'ordre, ni un coup de poing, ni même une gifle de la part des jeunes villageois ; la preuve, c’est qu’Olivier n'est pas poursuivi pour violences. En Languedoc, des incidents de ce type, il s'en produit dix chaque soir à l'époque des fêtes... Alors s’agit-il d’une mesure discriminatoire ? Car Olivier n'est pas n'importe qui puisque, comme le fait remarquer à plusieurs reprises le quotidien Midi-Libre (son nom est cité 5 fois dans un article),  il a été candidat de la Ligue du Midi aux élections cantonales dans le canton emblématique de la Paillade à Montpellier où il a réalisé un score non négligeable.

Midi Libre accomplit l'exploit, sous la plume de son stagiaire estival, de tartiner l'incident sur trois colonnes alors qu'il ne s'agit même pas d'un fait divers et encore moins d'une affaire politique. Le plumitif  a en outre l'outrecuidance de mentionner le nom de son père Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, en train de récolter des tomates ce jour là,  à plus de  60 kms de l'incident. Le stagiaire, certainement peu au fait des habitudes du quotidien régional, semble ignorer que son journal ne mentionne jamais le nom des prévenus, ni leur origine ethnique, ou même modifie les prénoms et ne publie jamais leurs photos. Pourquoi ce traitement discriminatoire ? En général, le Midi Libre se fait le champion de la présomption d'innocence, dénonce les violences des policiers ou des vigiles et s’indigne de la surpopulation carcérale... Alors, deux poids, deux mesures ?

En tout cas, la Ligue du Midi se félicite du grand pas en avant dans la présentation "démocratique" de l'information puisque à ce jour, la rédaction du Midi-Libre n'avait quasiment jamais publié ses communiqués. La hargne dont fait preuve dans cette affaire le "grand quotidien régional d'information" s'explique certainement par les mauvaises nouvelles en provenance de New York, phare de la finance mondiale, qui est en train de se  déliter sous nos yeux, avec en corolaire l’irrésistible montée en puissance des mouvements populistes et identitaires en Europe.
De nombreux témoins de l’incident, ulcérés par l’attitude des vigiles, se sont proposés pour rétablir la vérité et diverses plaintes ont été déposées ou sont en passe de l'être.
 
Une collecte visant à assurer la défense d’Olivier et la survie de son exploitation est en cours.
 
Envoyez vos dons à et courriers pour Olivier à qui nous transmettrons à:
 
Entraide-Solidarité-PrisonBP 4-7187, 30914 - Nîmes cedex
 
Libellé au nom de Roudierou d’Entraide-Solidarité pour obtenir une attestation de déduction fiscale.

Perqué volèm pas mai subir.

Perqué volèm pas mai subir.


Parce que nous ne voulons plus subir.
Parce que notre révolte est légitime.
Parce que nous ne voulons plus voir notre peuple vivre dans la misère imposée par le capitalisme et la peur imposée par les bandes ethniques.
Parce que nous avons l'âge de tous les défis et une immense responsabilité face à l'histoire.
Parce que nous voulons, comme chaque peuple en a le droit, vivre sur notre terre selon notre identité.
Nous avons fait le choix de la résistance !
Nous serons présents partout où notre combat l'impose, parmi les jeunes travailleurs, dans les lycées et facultés, dans les agences ANPE, dans les concerts et surtout dans nos rues, ces rues que nous refusons de voir offertes au règne de la violence !
La solidarité guidera notre action. Solidarité combattive s'il le faut, nous ne tolèrerons pas de voir des jeunes Français traités en étrangers sur leur sol.
Que ce soit face au patronat, face aux institutions corrompues ou face à la racaille, les Jeunesses Identitaires feront bloc !
Perqué volèm pas mai subir.
Perqué nòstra revòlta es legitima.
Perqué volèm pas mai veire nòstre pòble viure dins la miseria impausada per lo capitalisme e la paur impausada per las chormas etnicas.
Perqu'avèm l'atge de totes los desfises e una responsabilitat immensa cap a l'istòria.
Perqué volèm, coma cada pòble n'a lo drech, viure sus la terra nòstra segon nòstra identitat.
Avèm causit la resisténcia !
Serem presents pertot ont nòstre combat l'impausa, demest los joves trabalhadors, dins los licèus e facultats, dins las agéncias ANPE, dins los concertes e balètis e subretot per carrièras, aquestas carrièras que refusam de veire porgidas al renhe de la violença !
La solidaritat menarà nòstr'accion. Solidaritat combativa se cal, tolerarem pas de veire de joves frances tractats en estrangiers sus son sòl.
Que siague cap al patronat, cap a las institucions corrompudas o facia a la cacibralha, las Joventuts Identitaras faràn blòc !


Contact:
montpellier@jeunesses-identitaires.com
nimes@jeunesses-identitaires.com
beziers@jeunesses-identitaires.com
perpignan@jeunesses-identitaires.com

lundi 8 août 2011

Deux soldats français tués en Afghanistan

LA LIGUE DU MIDI - SECTION AVEYRON _DEMANDE LE RETOUR DES SOLDAT D'AFGHNISTAN

Deux soldats français ont été tués et cinq autres blessés dimanche en Afghanistan, dans la vallée de Tagab (est), lors d'un accrochage avec des insurgés, a annoncé l’Élysée dans un communiqué.
Les deux morts sont deux légionnaires du 2ème REP. Leur décès porte à 72 le nombre de soldats français morts en Afghanistan depuis fin 2001. Au total quatre militaires de l'Otan ont été tués dimanche dans deux accrochages distincts en Afghanistan, l'autre étant survenu dans le sud du pays, selon la force de l'Otan (Isaf).